La Cour africaine des droits de l’homme appelle la Tanzanie à abolir la peine de mort
Depuis près de 30 ans, la Tanzanie n'a pas appliqué lam peine de mort. La ...
© Covid-19 - Pfizer et BioNTech
Les documents déclassifiés par la justice révèlent des surprises. Le juge Mark T. Pittman (Dallas, Cour d’appel du Texas) vient de récidiver le 9 mai 2023, en exigeant la remise de l’ensemble des données concernant le vaccin pédiatrique Pfizer et le vaccin adulte Moderna, incluant 4,8 millions de pages, sous 2 ans vs les 23,5 que réclamait la FDA. Les laboratoires ont en l’occurrence jusqu’au 31 juin 2025 pour s’exécuter.
La publication de ces données a par ailleurs été jalonnée d’une série d’informations concernant l’origine du virus dont les scientifiques ont acquis la conviction qu’il est issu de recherches de gain de fonction financées clandestinement par le Dr A. Fauci, ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et ancien conseiller médical de la Maison-Blanche durant la pandémie de COVID-19. On sait également aujourd’hui que la fabrication des vaccins a débuté avant la date officielle, communiquée au public, le PDG de Moderna ayant reconnu dans une interview que sa société avait déjà produit 100 000 doses de vaccin Covid-19 en 2019.
• https://twitter.com/odrobsed/status/1632315917286752266?s=20
La divulgation d’un accord de confidentialité montre en réalité que «des candidats vaccins potentiels contre le coronavirus ont été transférés de Moderna à l’Université de Caroline du Nord le 12 décembre 2019, soit dix-neuf jours avant que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’ait eu connaissance de l’émergence des premiers cas de SARS-CoV-2 à Wuhan». (The Expose)
Un lanceur d’alerte pointe aujourd’hui une information inédite, contenue dans un autre document, également déclassifié suite à une requête FOIA, qui permet de répondre à cette question, en tout cas techniquement. Le document en question est le rapport d’évaluation non clinique produit par le régulateur australien (Therapeutic Goods Administration – TGA). La page 40 du rapport montre que la société Acuitas a formulé l’ARNm codant pour la luciférase transmis par BioNTech et référencé (ARN-EH190611-01c) dans le rapport R-20-0072, en trois types de nanoparticules : LNP12 (formulation DODMA:DOPE), LNP5 et LNP8.
TGA. Nonclinical Evaluation Report BNT162b2 [mRNA] COVID-19 vaccine
(COMIRNATYTM). Jan 2021. p.40
Or la page 29 du rapport BioNTech montre que la formulation des nanoparticules destinées au vaccin (LNP8, comme mentionné à la page 12 du même rapport) a été réalisée le 9 décembre 2019, soit trois semaines avant la divulgation du cas zéro à Wuhan. Les indications de formulation étant strictement identique entre les deux documents, cette concordance ne permet pas de douter que le certificat d’analyse contenu dans le rapport BioNTech concerne les nanoparticules utilisées dans l’étude australienne :
Africa24monde - source : Patrice Gibertie