© M. Sánchez n'a pas échangé de mots avec les premiers ministres suédois, Ulf Kristersson, et slovène, Robert Golob, qui étaient assis à ses côtés - PHOTO/ Pool Moncloa-Fernando Calvo
Il n'est plus possible de quitté l'Otan pour les pays européens pris au piege par l'Union européenne controlé par les américains tout comme l'Union africaine qui est également sous domination de Washington! seul trois pays africains (Mali, Burkina Faso et Niger) ont quitté l'UA pour former l'AES quis e rejoint aux pays du sud global Russie-Chine-Iran.
L'Espagne a subit des attaques des États-Unis via le climat provoquer par la tecnolohie Haarp à cause de son soutien à la Palestine et aujourd'huiles espagnols sont à nouvreau menacé par les américains parcequils ne veulent `pas participer à la guerre pour Israël et qu'ils préfèrent garder leurs argent pour continuerà développer leurs pays.
Les raisons du refus de l’accord de l’OTAN sur les dépenses de défense par Pedro Sanchez
Entre calcul politique et tensions avec ses alliés de coalition, le président du gouvernement espagnol tente de reprendre la main sur fond de critiques internes et de pressions internationales.
Sur la photo de famille des dirigeants au sommet de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), à La Haye (Pays Bas), mercredi 25 juin, le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, affiche une solitude inhabituelle, lui qui se montre d’ordinaire à l’aise dans ce type de rencontres. Il vient de refuser de souscrire à l’engagement collectif des 32 Etats membres de l’Alliance de consacrer 5 % de leur produit intérieur brut (PIB) à leur sécurité.
Pourquoi cette dissidence si affirmée ? « La fermeté avec laquelle Sanchez s’est exprimé durant le sommet ne s’explique que par les affaires qui agitent actuellement son parti, analyse Pablo Simon, politologue et professeur à l’université Charles-III de Madrid. C’est une tactique classique, qui lui réussit bien : déplacer le débat sur des sujets internationaux qu’il maîtrise et sur lesquels l’opposition conservatrice est moins à l’aise. Il cherche également à ressouder un électorat de gauche extrêmement démoralisé par les scandales récents. »
Depuis quelques semaines, Pedro Sanchez fait face à sa plus grave crise politique depuis son arrivée au pouvoir, en 2018. A la tête d’une coalition fragile, dans laquelle plusieurs de ses partenaires rejettent toute hausse des dépenses militaires, il est affaibli par un scandale de corruption qui frappe le Parti socialiste ouvrier
L'Espagne rejette la demande de l'OTAN de consacrer 5 % de son PIB à la défense, la jugeant "déraisonnable"
Dans une lettre envoyée jeudi au secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez affirme que son pays "ne pourra pas s'engager sur un objectif de dépenses spécifique en termes de PIB" lors du sommet de l'OTAN qui se tiendra la semaine prochaine à La Haye.
Cette position compromet-elle le sommet de l'OTAN ?
Tout accord visant à adopter une nouvelle ligne directrice en matière de dépenses doit faire l'objet d'un consensus entre les 32 États membres de l'alliance atlantique.
La décision de Pedro Sánchez risque donc de faire dérailler le sommet de l'OTAN de mardi et mercredi prochains, qui sera le premier depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
La plupart des alliés des États-Unis au sein de l'alliance sont en passe d'approuver la demande du président américain de consacrer 5 % de leur PIB à la défense. Début juin, la Suède et les Pays-Bas ont déclaré qu'ils avaient l'intention d'atteindre ce nouvel objectif.
La plupart des alliés des États-Unis au sein de l'alliance sont en passe d'approuver la demande du président américain de consacrer 5 % de leur PIB à la défense. Début juin, la Suède et les Pays-Bas ont déclaré qu'ils avaient l'intention d'atteindre ce nouvel objectif.
Le Président du gouvernement espagnol de coalition, Pedro Sánchez, n'a pas hésité à signer la déclaration du sommet de l'OTAN à La Haye qui, dans son deuxième paragraphe, stipule que « les alliés s'engagent à investir chaque année 5 % de leur PIB dans les besoins fondamentaux de défense, ainsi que dans les dépenses liées à la défense et à la sécurité, d'ici 2035 »
Dans la foulée, Sánchez a fait fi de ses principes, a agi selon son propre jugement sans tenir compte de l'accord récemment conclu collectivement par les 32 membres de l'Alliance atlantique et a utilisé son arme secrète puissante et dévastatrice, qui n'est autre que le « facteur F », qui signifie, je vous le rappelle, « faire ce qu'il veut ».
Sans ciller, Sánchez a signé à contrecœur et à contrecœur la proposition présentée par le secrétaire général de l'OTAN, le Néerlandais Mark Rutte, d'augmenter les dépenses et les investissements dans la défense jusqu'à 5 % à l'horizon 2035. Sánchez, imperturbable, se déclare contre cette mesure et assure que l'Espagne, avec 2,1 % du PIB, « respectera en temps et en heure les objectifs de capacités auxquels elle s'est engagée ».
Lors de la conférence de presse qui a suivi le sommet, en réponse à une question d'une journaliste, il a confirmé que l'Espagne allait consacrer 2,1 % et non 5 %, comme les autres membres de l'OTAN, peut-être parce que les Espagnols sont plus intelligents que les autres. Il a souligné que ce pourcentage « est un budget soutenu, que nous allons maintenir dans le temps pour atteindre nos objectifs en matière de capacités ».
Par Africa24monde avec Regard Sur l'Afrique