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© Accord signé par Maram Kairé, Directeur Général de l’Agence Sénégalaise d’Études Spatiales (ASES), et Li Guoping, Directeur de l’Administration Spatiale Nationale Chinoise (CNSA), lors de la Conférence Internationale sur l’Espace Profond en Chine
Ce partenariat marque une nouvelle étape pour le Sénégal, qui avait déjà fait parler de lui avec le lancement de son premier nanosatellite, Gaindesat-1A. En intégrant le projet ILRS, dirigé par la Chine, le Sénégal se positionne désormais parmi les nations africaines leaders dans le domaine de l’exploration lunaire, aux côtés de l’Égypte et de l’Afrique du Sud.
Un accord en ce sens a été signé le 5 septembre entre l’Agence sénégalaise d’études spatiales (ASES) et l'Administration spatiale nationale chinoise.
Cette collaboration permettra à Dakar de "bénéficier d’un important transfert de technologie et de développer les compétences de ses ressources humaines dans ce domaine", a fait valoir l'ASES dans un communiqué.
De plus, le projet "renforcera la position du Sénégal dans le concert des nations spatiales", souligne l'agence.
La Station de recherche lunaire internationale est un projet russo-chinois acté en 2022. Il prévoit la création d'un laboratoire sur la Lune pour mener des expériences et tester diverses technologies. Les parties misent, entre autres, sur l'exploitation sans équipage de la station lunaire dans la perspective d'assurer une future présence humaine sur la Lune.
Africa24monde avec Sputnik