
Le ballet diplomatique pour une solution politique s'intensifie
A l’occasion d’une rencontre à Istanbul, les présidents russe et turc ont ...
© La Première ministre Theresa May devant les députés, ce lundi 9 juillet 2018. HO / PRU / AFP
Usée par l’interminable casse-tête du Brexit qu’elle n’a pas su mettre en oeuvre, elle a annoncé vendredi sa démission, au bord des larmes, laissant à celui ou celle qui lui succédera un pays paralysé par les divisions.
Sa voix s’est cassée au moment de terminer sa brève déclaration en proclamant son “amour” pour son pays.
Fille de pasteur, âgée de 62 ans, elle fut ministre de l’Intérieur, mais elle n’est pas parvenue à rallier derrière sa vision de la sortie de l’UE une classe politique profondément divisée sur la question, à l’image de la société britannique.
May avait pris la tête de l’exécutif en juillet 2016, peu après que les Britanniques eurent voté à 52 % en faveur du Brexit lors du référendum du 23 juin 2016, succédant à David Cameron.
Par Tinno Bang mbang
À Lire aussi : Brexit: Theresa May sous pression après le départ de deux poids lourds du gouvernement