L'ONU appelle le nouveau Conseil de transition libyen à former rapidement un gouvernement inclusif
Après dix années d’instabilité et de conflit, la Libye s’achemine ...
© Le G7 se déroulera du 24 au 26 août 2019 en France, à Biarritz. © | CHARLES PLATIAU /REUTERS
Pour ce sommet du G7 au format remanié, Emmanuel Macron a choisi de convier huit pays non-membres dont cinq africains. L’Afrique du Sud a, selon le site de l’Élysée, été conviée au côté de l’Inde, de l’Australie et du Chili en tant que « grands partenaires engagés dans la protection et la promotion des libertés démocratiques ».
Au Sommet du G7 de Biarritz, Macron a invité:
4 pays partenaires, engagés dans la protection et la promotion des libertés démocratiques, qui ont une influence régionale majeure : l’Afrique du Sud, l’Australie, le Chili et l’Inde ;
6 partenaires africains pour bâtir un partenariat d’égal à égal avec ce continent d’avenir : l’Afrique du Sud, l’Égypte, le Burkina Faso, le Sénégal, le Rwanda et Moussa Faki, le Président de la Commission de l’Union africaine (UA).
Hôtel du palais, où les chefs d’État seront pour la plupart logés. Le sommet du G7 se tiend à Biarritz du 24 au 26 août. Plusieurs groupes opposés à la tenue de ce club projettent d'organiser un contre-sommet et des actions pacifiques de «désobéissance civile».
Quelque 80 groupes opposés au G7 à Biarritz (24-26 août) avait annoncé le mercredi 10 juillet à Irun (Espagne) qu'ils manifesteraient et mèneraient des actions de « désobéissance civile pacifique » durant un contre sommet transfrontalier.
Ces anti G7 regroupent deux plateformes: « G7 Ez » (Non au G7 en langue basque), implantée localement, et « Alternatives G7 », qui réunit des organisations altermondialistes comme ATTAC ou le CCFD-Terre Solidaire.
Pour ces syndicats, collectifs ou partis politiques, le sommet des leaders des sept pays les plus riches de la planète symbolise « un état du monde profondément mortifère », dans lequel règne « le dérèglement climatique, les inégalités, les guerres impérialistes, la violence de genre, les migrations forcées, la domination des multinationales, la précarisation des travailleurs ».
Par Tinno BANG MBANG Correspondant à Barcelone