La BRVM met le cap sur la Blockchain, le Big Data et l’intelligence artificielle
La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) basée à Abidjan ...
© La BEAC, la banque centrale commune aux 6 pays de la CEMAC
Le processus de fusion de la Douala Stock Exchange et la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale, pour aboutir à terme à une seule place boursière, avance normalement.
La BEAC, la banque centrale commune aux 6 pays de la CEMAC, devient ainsi l’unique dépositaire centrale de la future place boursière d’Afrique centrale.
En d’autres termes, la BEAC devrait être l’unique comptable du marché boursier. Elle veillera à la conservation des titres des affiliés de la bourse et à la gestion du système de règlement de livraison.
La caisse autonome d’amortissement du Cameroun (CAA) et la bourse des Valeurs Mobilières d’Afrique Centrale (BVMAC) – à qui était dévolu ce rôle viennent de transférer leurs compétences à la BEAC.
Au 30 juin 2019, l’on devrait donc aboutir à une nouvelle configuration du marché financier régional.
Il y aura ainsi: – un régulateur unique, basé à Libreville (Gabon), – une bourse unique, dont le siège est fixé à Douala (Cameroun), – un dépositaire central unique du marché financier (provisoirement logé aux
Services Centraux de la BEAC, à Yaoundé (Cameroun).
En rappel, la fusion physique des deux gendarmes boursiers ( la commission de Surveillance du marché Financier de l’Afrique Centrale (Cosumaf) et la Commission des marchés Financiers, respectivement à Libreville et Douala, est aussi effective depuis le 1er mars dernier.
Prochaine étape : la fusion physique des deux places boursières d’Afrique centrale.
Par Africa24monde Avec Africanews