Les Etats-Unis et l’ONU exigent la tenue des élections en Somalie
Les tentatives de l’opposition d’instaurer un gouvernement de transition en ...
© Le président gabonais Ali Bongo lors du congrès de son parti, le PDG, près de Libreville, le 10 décembre 2017. © Steve JORDAN / AFP
Le Gabon risque de plonger dans la violence. En tout cas, c’est du moins le constat qui se profile à l’horizon. Évidemment, l’Union Européenne alerte le président Ali Bongo afin qu’il éclaircisse son peuple sur le cas réel de sa maladie.
Aussi, l’UE l'invite à ranger sa candidature afin d’éviter que son peuple ne plonge dans la violence. C’est plus qu'une mise en garde.
En plus de mentionner de nombreux « déséquilibres » dans le déroulé du pays, l’UE dénonce la manipulation d’une certaine presse gabonaise qui refuse de traiter la bonne information.
« Nous vivons dans une dictature brutale, violente, qui bafoue quotidiennement toutes les libertés fondamentales. Les intimidations, les arrestations arbitraires sont constantes », a soutenu le rival d’Ali Bongo. Il s’agit de l’opposant gabonais Jean Ping. Pour l’opposant gabonais, les jours d’Ali Bongo sont comptés au Gabon. « D’une manière ou d’une autre, il quittera le pouvoir », dit-il.
Par Africa24monde Avec Presstv